Poème d'Abou Firas Al Hemdani- Traduit de l'arabe par Samia Lamine.
(Extrait chanté par Om Kathoum. voir la vidéo et texte original ci- dessous.)
Mais si! , j’ai tant de désirs et tant de tourments.
Mais, des hommes comme moi, on ne divulgue point le secret.
Quand la nuit m’étreint, je cède aux bras de la passion
Et j’avilis mes larmes si fières.
Le feu est près d’illuminer mes côtes,
Tant elles sont attisées par la passion et les souvenirs.
Elle est prometteuse d’une union impossible avant la mort.
Qu’il ne pleuve plus, si je dois mourir de soif !!
J’étais fidèle. Mais, est humiliante est la fidélité
A une belle dans le quartier dont la qualité est la trahison!
Sage mais la fraicheur de sa jeunesse l’excite
Tellement que parfois, elle galope comme galoperait une jument
Elle me demande qui je suis pourtant elle me connait.
Mais est- ce celui qui est de mon rang est inconnu ?
Et je lui ai dit comme elle avait décidé et avaiit décidé, pour elle, l’amour :
« Je suis celui que tu as assassiné. » Elle répondit : « Lequel ? Ils sont nombreux. »
Elle a dit : « Le temps t’a malmené, après nous »
Si la séparation me fait oublier, l’abandon m’accablera.
L'extrait en arabe:
أراك عصي الدمع شيمتـك الصبـر
راك عصى الدمع شيمتك الصبر
أما للهوى نهي عليك ولا أمر
نعم أنا مشتاق وعندى لوعة
ولكن مثلى لا يذاع له سر
إذا الليل أضواني بسطت يد الهوى
وأذللت دمعا من خلائقه الكبر
تكاد تضئ النار بين جوانحي
إذا هي أذكتها الصبابة والفكر
معللتي بالوصل والموت دونه
إذا مت ظمآنا فلا نزل القطر
وفيتُ وفى بعض الوفاء مذلة
لفاتنة فى الحى شيمتها الغدر
تسائلنى من أنت وهى عليمة
وهل لمن مثلي على حاله نكر
فقلت كما شاءت وشاء لها الهوى
قتيلك قالت أيهم فهم كُثرُ
وقلّبتُ أمرى لا أرى لي راحة
إذا البين أنساني ألح بي الهجر
وقالت لقد أذرى بك الدهر بعدنا
فقلت معاذ الله بل أنت لا الدهر
أراك عصى الدمع شيمتك الصبر
أما للهوى نهى عليك ولا أمر
(Extrait chanté par Om Kathoum. voir la vidéo et texte original ci- dessous.)
Je te vois sans larmes ; La patience… ta qualité.
L’amour, n’aurait- il, sur toi, ni interdiction ni commandement?Mais si! , j’ai tant de désirs et tant de tourments.
Mais, des hommes comme moi, on ne divulgue point le secret.
Quand la nuit m’étreint, je cède aux bras de la passion
Et j’avilis mes larmes si fières.
Le feu est près d’illuminer mes côtes,
Tant elles sont attisées par la passion et les souvenirs.
Elle est prometteuse d’une union impossible avant la mort.
Qu’il ne pleuve plus, si je dois mourir de soif !!
J’étais fidèle. Mais, est humiliante est la fidélité
A une belle dans le quartier dont la qualité est la trahison!
Sage mais la fraicheur de sa jeunesse l’excite
Tellement que parfois, elle galope comme galoperait une jument
Elle me demande qui je suis pourtant elle me connait.
Mais est- ce celui qui est de mon rang est inconnu ?
Et je lui ai dit comme elle avait décidé et avaiit décidé, pour elle, l’amour :
« Je suis celui que tu as assassiné. » Elle répondit : « Lequel ? Ils sont nombreux. »
Elle a dit : « Le temps t’a malmené, après nous »
Alors, je lui ai dit : « Pas du tout, Nom de Dieu! Plutôt toi que le temps ! »
Et j’ai considéré mon sort et n’y ai point vu de salut.Si la séparation me fait oublier, l’abandon m’accablera.
Je te vois sans larmes ; La patience... ta qualité.
L’amour, n’aurait- il ni interdiction, sur toi, ni commandement?L'extrait en arabe:
أراك عصي الدمع شيمتـك الصبـر
راك عصى الدمع شيمتك الصبر
أما للهوى نهي عليك ولا أمر
نعم أنا مشتاق وعندى لوعة
ولكن مثلى لا يذاع له سر
إذا الليل أضواني بسطت يد الهوى
وأذللت دمعا من خلائقه الكبر
تكاد تضئ النار بين جوانحي
إذا هي أذكتها الصبابة والفكر
معللتي بالوصل والموت دونه
إذا مت ظمآنا فلا نزل القطر
وفيتُ وفى بعض الوفاء مذلة
لفاتنة فى الحى شيمتها الغدر
تسائلنى من أنت وهى عليمة
وهل لمن مثلي على حاله نكر
فقلت كما شاءت وشاء لها الهوى
قتيلك قالت أيهم فهم كُثرُ
وقلّبتُ أمرى لا أرى لي راحة
إذا البين أنساني ألح بي الهجر
وقالت لقد أذرى بك الدهر بعدنا
فقلت معاذ الله بل أنت لا الدهر
أراك عصى الدمع شيمتك الصبر
أما للهوى نهى عليك ولا أمر
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